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Titre du blog : audeladecettevie
Auteur : audeladecettevie
Date de création : 24-03-2008
 
posté le 17-06-2008 à 22:04:06

Catastrophes naturelles : de pire en pire ?

 

 


CATASTROPHES NATURELLES :
DE PLUS EN PLUS ?

“ Il est à craindre que des événements extrêmes imputables aux changements climatiques aient des conséquences de plus en plus graves dans l’avenir. Cela signifie que nous devons envisager de nouveaux genres de risques climatiques et l’éventualité de plus lourdes pertes. [...] En vertu du principe de précaution, il serait avisé que nous nous préparions à des changements spectaculaires. ”

“ Topics Geo — Hors Série Annuel : Catastrophes Naturelles 2003. ”

ÉTÉ 2003 en Europe : la canicule s’abat sur la Belgique, l’Espagne, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, les Pays-Bas et le Portugal, et elle fait 30 000 morts. La même année au Bangladesh, en Inde et au Pakistan, une vague de chaleur d’avant-mousson tue 1 500 personnes, alors qu’en Australie une sécheresse et des températures records déclenchent des feux de brousse qui dévastent trois millions d’hectares.

FRANCE 2003
La canicule en Europe fait 30 000 morts ; en Espagne, le thermomètre grimpe jusqu’à 45 °C.

 

 Selon l’Organisation météorologique mondiale, “ en 2003, durant la saison des ouragans, 16 tempêtes ayant reçu un nom se sont déchaînées dans le bassin de l’Atlantique. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 9,8 calculée sur la période 1944-1996, mais s’inscrit dans la tendance constatée depuis le milieu des années 90, qui est caractérisée par une augmentation sensible du nombre annuel de tempêtes tropicales ”. Cette tendance s’est confirmée en 2004, avec les ouragans terribles qui ont balayé les Antilles et le golfe du Mexique, semant la mort (2 000 victimes) et la destruction sur leur passage.

 

 

 En 2003, au moins 250 personnes périssent dans les inondations consécutives au cyclone qui frappe le Sri Lanka. En 2004, 23 typhons (chiffre record) secouent le Pacifique Ouest ; 10 passent sur le Japon, où ils font 170 morts et des dégâts considérables. À la suite des orages de mousson, les inondations en Asie du Sud (en particulier au Bangladesh) touchent 30 millions de personnes : on dénombre plusieurs millions de sans-abri, près de trois millions de déplacés et 1 300 victimes.

 

L’année 2003 a été marquée également par des séismes effroyables. Le 21 mai, en Algérie, une secousse fait 10 000 blessés et 200 000 sans-abri. Le matin du 26 décembre, à 5 h 26, la terre tremble à une dizaine de kilomètres au sud de Bam, en Iran. De magnitude 6,5, le cataclysme (qui sera la catastrophe naturelle la plus meurtrière de l’année) ravage 70 % de la ville, tue plus de 40 000 habitants, et laisse plus de 100 000 sans-abri. Par ailleurs, il prive Bam et sa région d’une importante source de revenus en rasant presque entièrement son attraction touristique, la citadelle deux fois millénaire d’Arg-e-Bam.

Un an plus tard jour pour jour, un séisme de magnitude 9 se produit à l’ouest de la pointe nord de Sumatra (Indonésie). Il engendre le tsunami le plus meurtrier que l’Histoire ait jamais enregistré. Les vagues tueuses feront 200 000 morts et encore plus de blessés et de sans-abri (ou les deux). Même la côte africaine, à 4 500 kilomètres à l’ouest de l’épicentre, a été atteinte par l’onde fatale.

 

Des prévisions encore plus sombres ?

Ces événements sont-ils un avant-goût de ce qui nous attend ? En ce qui concerne les catastrophes de nature climatique, beaucoup de scientifiques pensent que les changements atmosphériques dus aux activités humaines modifient le climat de la planète et contribuent à des écarts extrêmes. S’ils ont raison, leur estimation ne présage rien de bon pour l’avenir. Comme pour aggraver la situation, toujours plus d’humains, soit délibérément, soit parce qu’ils n’ont pas le choix, vivent dans des zones à risques.

 

Les statistiques indiquent que 95 % des décès dus à des cataclysmes surviennent dans des pays en développement. D’un autre côté, les pays riches ont un taux de mortalité inférieur, mais subissent 75 % des pertes financières, au point que des assureurs se demandent s’ils pourront tenir debout sous cet assaut de pertes exponentielles !

 

L’article suivant parle de quelques mécanismes naturels à l’origine des cataclysmes et des façons dont l’homme peut les aggraver. Il fait aussi le point sur la capacité et la volonté des humains d’effectuer les changements nécessaires pour faire de la terre une demeure sûre à l’intention des générations futures.

 

LES CATASTROPHES NATURELLES
et le facteur humain

 

BIEN entretenu, un véhicule est un moyen de transport sûr. En revanche, malmené et négligé, il peut être dangereux. Sous certains aspects, il en va de même de notre demeure la Terre.

De l’avis de nombreux scientifiques, les changements atmosphériques et océaniques dus à l’activité humaine ont fait de la planète un lieu dangereux en contribuant à augmenter la fréquence et la gravité des catastrophes naturelles. Et l’avenir semble sombre. “ Nous sommes au milieu d’une vaste expérience hasardeuse sur la seule planète que nous ayons ”, pouvait-on lire dans un éditorial de la revue <cite>Science</cite>.

 

 

Pour mieux comprendre comment l’activi humaine influe sur la fréquence et la gravité des colères de la nature, nous devons en savoir un peu plus sur les pnones naturels en jeu. Par exemple, comment se forment les tempêtes comme les ouragans ?

Les échangeurs de chaleur de la planète

On a comparé le système climatique de la Terre à une machine qui transforme et distribue l’énergie solaire. Comme les Tropiques reçoivent la plus grande partie de la chaleur solaire, il en résulte un déséquilibre thermique qui met l’atmosphère en mouvement*. Du fait de la rotation quotidienne du globe, dans cette masse d’air humide et mouvant se forment des tourbillons, dont certains deviennent des dépressions, c’est-à-dire des zones de basse pression atmosphérique. Les dépressions peuvent devenir des tempêtes.

En observant la trajectoire des tempêtes tropicales, on note qu’elles tendent à s’éloigner de l’équateur, au nord ou au sud, vers des régions plus froides. De cette façon, les tempêtes servent aussi d’immenses échangeurs de chaleur, et donc de modérateurs du climat. Toutefois, lorsque la température de la surface de l’océan — la “ chaufferie ” de la machine climatique — dépasse 26 ou 27 °C, les tempêtes tropicales accumulent suffisamment d’énergie pour devenir des cyclones, des ouragans ou des typhons, autant de noms régionaux désignant grosso modo les mêmes phénomènes.

La catastrophe naturelle climatique la plus meurtrière de l’histoire américaine a été l’ouragan qui a ravagé Galveston, ville insulaire du Texas, le 8 septembre 1900. Les ondes de tempête ont fait entre 6 000 et 000 morts dans la ville, plus 4 000 dans les environs, et ont abattu 3 600 maisons ; à vrai dire, pas une construction de Galveston n’est restée intacte.

 Comme le signale l'article précédent, on a observé ces dernières années un grand nombre de tempêtes très puissantes. Les scientifiques étudient leur lien avec le réchauffement planétaire, qui, supposent-ils, alimente en énergie le système des tempêtes. Cela dit, les changements climatiques ne sont peut-être qu’un des symptômes du réchauffement planétaire. Un autre, potentiellement dangereux, est sans doute déjà visible.

Lélévation du niveau des mers et la déforestation

Toujours selon l’éditorial de la revue <cite>Science</cite>, “ les niveaux des mers ont monté de 10 à 20 centimètres en un siècle, et ce n’est pas fini ”. Quel est le rapport avec lechauffement planétaire ? Les chercheurs envisagent deuxcanismes possibles. Le premier est la fonte des calottes polaires et des glaciers, qui gonfle le volume des mers ; le deuxième est l’expansion thermique : en se réchauffant, les océans augmentent de volume.

Les îles minuscules de Tuvalu sont peut-être touchées par la mone des mers. Des données relevées sur l’atoll de Funafuti montrent que le niveau de l’oan à cet endroit a grimpé “ en moyenne de 5,6 millimètres par an pendant la décennie passée ”.Source : revue <cite>Smithsonian</cite>.

Usines rejetant des gaz à effet de serre

Beaucoup de pays continuent de rejeter dans l’atmosphère des gaz à effet de serre.

La croissance démographique signifie dans de nombreuses régions du monde plus d’étalement urbain, plus de bidonvilles et plus de dégradation de l’environnement. Ces situations peuvent transformer en drames les catastrophes naturelles. Citons quelques exemples.

Haïti, &Eacute;tat insulaire très peuplé, est depuis longtemps affecté par la déforestation. &Agrave; en croire un reportage récent, aussi sérieux que soient les problèmes économiques, politiques et sociaux d’Haïti, rien ne met plus en péril l’existence du pays que la déforestation. La menace est devenue cruellement concrète en 2004, lorsque des coulées de boue dues à des pluies torrentielles ont emporté des milliers de vies.

<cite>Time</cite> Asie accuse “ le réchauffement planétaire, les barrages, la déforestation et la culture sur brûlis ” d’être des facteurs aggravants dans les catastrophes naturelles qui frappent l’Asie du Sud. &Agrave; l’autre extrême, la déforestation décuple la sécheresse puisqu’elle accélère l’assèchement du sol. Ces dernières années, en Indonésie et au Brésil, des sécheresses ont allumé des brasiers incroyables dans des forêts habituellement trop humides pour prendre feu. Toutefois, les caprices du climat ne sont pas la seule cause des catastrophes naturelles : beaucoup de sinistres sont engendrés dans les profondeurs de la Terre.

Où la terre fait le gros dos

L’écorce terrestre se compose de plaques de tailles différentes qui bougent les unes par rapport aux autres. En fait, il y a tant de mouvement dans la croûte terrestre qu’il se produit probablement plusieurs millions de séismes par an, dont la plupart passent inaperçus.

Environ 90 % de la totalité des séismes ont lieu le long des failles qui courent en bordure des plaques. Il y a également des séismes parfois très destructeurs, quoique rares, à l’intérieur des plaques. Selon des estimations, le pire séisme de l’Histoire fut celui qui ravagea trois provinces de Chine en 1556 : il aurait fait 830 000 morts.

Les tremblements de terre tuent aussi indirectement. Par exemple, le 1er novembre 1755 au Portugal, Lisbonne (275 000 habitants) a été anéantie par plusieurs secousses. Mais l’horreur n’était pas terminée. Dans la foulée, des incendies ont éclaté et plusieurs raz-de-marée, nés dans l’Atlantique voisin, ont englouti ce qui restait de la ville sous des vagues de 15 mètres, selon les témoignages. Tous chiffres confondus, la tragédie a fait plus de 60 000 morts.

Bâtiment détruit par un séisme

Là encore, l’ampleur des désastres est imputable dans une certaine mesure à l’élément humain. La densité de population dans les zones à risques est à incriminer. “ Environ la moitié des mégalopoles du monde se trouvent aujourd’hui dans des zones sismiques dangereuses ”, constate l’auteur Andrew Robinson. Autre facteur : les bâtiments, pour ce qui est des matériaux employés et de la qualité de construction. Trop souvent se vérifie cet adage : “ Ce sont les bâtiments qui tuent, pas les tremblements de terre. ” Mais les gens ont-ils le choix quand ils sont trop pauvres pour construire des bâtiments antisismiques ?

Ces volcans qui bâtissent et détruisent

“ Le temps que vous ayez lu ces lignes, il y aura eu au moins 20 éruptions volcaniques dans le monde ”, indique un document de l’institut américain Smithsonian. En gros, la théorie de la tectonique des plaques explique que les séismes et les volcans se produisent dans les mêmes régions : dans les rifts, surtout les rifts océaniques, dans l’écorce terrestre, où le magma monte du manteau à travers des fissures, et dans les zones de subduction, où une plaque s’enfonce sous une autre.

Le volcanisme de subduction représente le plus grand danger pour les populations quant au nombre d’éruptions observées et à leur survenue près de régions habitées. Le bassin du Pacifique, surnommé “ la ceinture de feu ”, est criblé de centaines de volcans de cette catégorie. On trouve également un petit nombre de volcans à ce qu’on appelle des points chauds, loin des bords des plaques. Les îles Hawaii, les Açores, les Galápagos et les îles de la Société sont vraisemblablement toutes le résultat d’un volcanisme de points chauds.

ET UN VOLCAN POUSSA DANS LE CHAMP DE MA&Iuml;S

Deux agriculteurs regardant une éruption volcanique

EN 1943, un paysan mexicain a vu pousser dans son champ autre chose que du maïs. Un jour, le sol s’est fendu sous ses yeux. Le lendemain, les fissures avaient cédé la place à un petit volcan. Durant la semaine qui a suivi, le cône a grandi de 150 mètres ! Un an plus tard, il s’élevait à 360 mètres. Pour finir, ce volcan poussé à une altitude de 2 775 mètres a atteint 430 mètres. Appelé Paricutín, il a cessé brusquement toute éruption en 1952 et, depuis, il garde le silence.

 

 

En réalité, les volcans sont depuis longtemps des constructeurs du relief terrestre. Selon un site Web universitaire, jusqu’à “ 90 % de tous les continents et bassins océaniques sont le produit de l’activité volcanique ”. Mais qu’est-ce qui explique la violence extrême de certaines éruptions ?

Une éruption volcanique est une montée de magma depuis l’intérieur chaud de la Terre. Les volcans effusifs exsudent simplement leur lave, qui s’écoule rarement assez vite pour prendre les humains par surprise. D’autres, par contre, explosent avec plus d’énergie qu’une bombe atomique ! La différence tient entre autres facteurs à la composition et à la viscosité de la matière en fusion, ainsi qu’à la quantité de gaz et d’eau surchauffée qui sont dissous dans cette matière. Quand le magma approche de la surface, l’eau et le gaz qu’il renferme se dilatent rapidement. Avec la bonne composition de magma, l’effet est comparable au jaillissement d’une boisson gazeuse hors d’une bouteille que l’on a secouée avant de l’ouvrir.

Heureusement, les volcans donnent souvent des signes avertisseurs avant de “ se fâcher ”. C’est ce qu’a fait en 1902 la montagne Pelée, en Martinique. &Agrave; Saint-Pierre, tout près de là, comme des élections étaient imminentes, les hommes politiques encourageaient la population à rester, malgré la cendre, le malaise et la crainte qui envahissaient la ville, au point, d’ailleurs, que la plupart des commerces avaient fermé depuis plusieurs jours !

Le matin du 8 mai, jour de l’Ascension, beaucoup de Pierrotins se rendaient à la cathédrale pour prier d’être préservés du volcan. Peu avant 8 heures, dans une explosion formidable, la montagne Pelée a vomi une masse bouillonnante de pyroclastites (cendre, scories, obsidienne, ponce et gaz surchauffés) qui atteignait une température de 200 à 500 °C. Chape mortelle rasant le sol, la nuée ardente a dévalé les pentes, enveloppé la ville en tuant 30 000 personnes, fondu la cloche de l’église et calciné les bateaux du port. Cette éruption a été la plus meurtrière du XXe siècle. Elle ne l’aurait pas été si les habitants avaient tenu compte des signes avertisseurs.

Faut-il sattendre à pire ?

Dans <cite>Rapport sur les catastrophes dans le monde 2004</cite>, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge explique que, ces dix dernières années, les catastrophes géophysiques et climatiques ont augmenté de plus de 60 %. “ Cette évolution reflète des tendances à long terme ”, commente le rapport, qui a été publié avant le drame du tsunami du 26 décembre dans l’océan Indien. Si la population continue d’augmenter dans les zones à risques et que les forêts continuent de rétrécir, il n’y a certainement guère de quoi être optimiste.

Par ailleurs, beaucoup de pays industrialisés continuent de rejeter dans l’atmosphère toujours plus de gaz à effet de serre. Selon l’éditorial de <cite>Science</cite>, remettre à plus tard la réduction des émissions, “ c’est comme refuser de soigner une maladie qui se déclare : le coût n’en sera que plus élevé par la suite ”. &Agrave; propos de coût, un rapport canadien sur l’atténuation des catastrophes affirme : “ On peut dire que le changement climatique est la question écologique la plus envahissante et la plus grave que la communauté internationale ait jamais eu à affronter. ”

Pour l’instant, toutefois, la communauté internationale n’arrive même pas à s’accorder sur le fait que les activités humaines contribuent au réchauffement planétaire, et encore moins sur la façon de résoudre le problème. La situation rappelle cette vérité biblique : “ Il n’appartient pas à l’homme [...] de diriger son pas. ” (Jérémie 10:23). Cependant, comme le montre l'article suivant la situation n’est pas désespérée. Mieux encore, les malheurs actuels, y compris la tourmente qui secoue toute la société humaine, sont une preuve supplémentaire qu’un soulagement est proche.


*  La distribution inégale de la chaleur solaire entraîne aussi la formation de courants marins qui transrent l’énergie vers des régions plus froides.

DES NATIONS SAUV&Eacute;ES GR&Acirc;CE &Agrave; DIEU

LA FAMINE peut parfois être qualifiée de catastrophe naturelle. L’une des plus anciennes famines connues remonte au temps où Joseph, fils de Jacob (Israël), vivait en &Eacute;gypte. Elle a frappé pendant sept années l’&Eacute;gypte, Canaan et d’autres pays. Mais les populations n’ont pas souffert de la faim, car Jéhovah avait annoncé la famine sept ans à l’avance, en révélant que cet intervalle serait une période d’abondance en &Eacute;gypte. Sous la supervision de Joseph, adorateur de Jéhovah devenu providentiellement premier ministre et administrateur des vivres, les &Eacute;gyptiens avaient engrangé tant de grain qu’ils avaient fini par ‘ renoncer à le compter ’. Ainsi, l’&Eacute;gypte a pu nourrir et sa population et “ les gens de toute la terre ”, dont la famille de Joseph. Genèse 41:49, 57 ; 47:11, 12.

Égypte
 

LA FIN
de toutes les catastrophes
EST PROCHE

 Enfants et enfants des enfants, écoutez ! [...] Tôt ou tard cette montagne s’embrasera. Mais auparavant il y aura des grondements, des craquements, des tremblements. La montagne crachera fumée, flammes, éclairs ; l’air vibrera, mugira, hurlera. Fuyez tant qu’il en est temps. [...] Si vous méprisez [la montagne], si vos biens et vos possessions vous sont plus chers que la vie, elle punira votre insouciance et votre cupidité. Ne regrettez pas votre demeure et son âtre ; fuyez sans hésiter. ”

CET avertissement, cité par l’auteur Andrew Robinson dans <cite>Earth Shock</cite>, figure sur une plaque commémorative qui fut posée à Portici, ville italienne bâtie au pied du Vésuve, après l’éruption de 1631 dans laquelle 4 000 âmes périrent. “ Ironie du sort, explique Andrew Robinson, c’est cette éruption de 1631 [...] qui a rendu célèbre le nom du Vésuve. ” En effet, la reconstruction de Portici a permis la découverte d’Herculanum et de Pompéi, villes ensevelies lors de l’éruption de 79 de notre ère.

L’écrivain romain Pline le Jeune, qui survécut à la catastrophe de 79 et qui devint plus tard gouverneur, a raconté qu’on avait perçu des tremblements précurseurs inhabituels. Lui, sa mère et d’autres avaient réagi aussitôt, ce qui leur avait sauvé la vie.

Un signe avertisseur pour notre époque

Les systèmes économique, social et politique du monde sont près de leur fin. Nous savons cela parce que Jésus Christ a prédit un certain nombre d’événements mondiaux qui serviraient de signe avertisseur de l’approche du jour où Dieu demanderait des comptes. &Agrave; la manière d’un volcan qui gronde, fume et crache des scories, ce signe multiple englobe de grandes guerres, des séismes, des famines et des pestes, autant de catastrophes qui ravagent le monde comme jamais auparavant depuis l’année 1914. — Matthieu 24:3-8 ; Luc 21:10, 11 ; Révélation 6:1-8.

Deux femmes discutant sur la base d’une brochure biblique

Faites-vous attention au signe

qui vous avertit que le monde

vit ses derniers jours ?

 

 

Mais le signe avertisseur donné par Jésus contient aussi un message d’espoir. “ Cette bonne nouvelle du royaume, a-t-il dit, sera prêchée dans toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations ; et alors viendra la fin. ” (Matthieu 24:14). Remarquons que Jésus a qualifié de “ bonne nouvelle ” le message du Royaume. Et c’est effectivement une bonne nouvelle, puisque le Royaume de Dieu, gouvernement céleste confié à Christ Jésus, réparera tout le mal causé par les humains. Mieux encore, il fera cesser les catastrophes naturelles. — Luc 4:43 ; Révélation 21:3, 4.

Quand il a vécu sur la terre, l’homme Jésus a fait une démonstration de son pouvoir sur les éléments lorsqu’il a calmé une tempête d’une force meurtrière. Après quoi, ses disciples, effrayés, se sont exclamés : “ Qui donc est-il, celui-là, car il commande même aux vents et à l’eau, et ils lui obéissent ? ” (Luc 8:22-25). Aujourd’hui, Jésus n’est plus un simple humain, mais un esprit puissant. Combien plus il lui sera facile de maîtriser les éléments naturels pour les empêcher de nuire à ses sujets ! — Psaume 2:6-9 ; vélation 11:15.

Utopique, diraient certains. Mais n’oublions pas que, contrairement aux promesses et aux prédictions humaines, les prophéties bibliques se sont toujours réalisées, comme celles que l’on voit s’accomplir depuis 1914 (Isaïe 46:10 ; 55:10, 11). L’avenir paisible de la terre est bel et bien garanti. Le nôtre le sera aussi, à condition que nous prenions la Parole de Dieu au sérieux et que nous écoutions son avertissement relatif aux événements qui ébranleront bientôt le monde. — Matthieu 24:42, 44 ; Jean 17:3.

 

QUEL ESPOIR POUR NOS CHERS DISPARUS ?

Jésus ressuscite Lazare

QUAND la mort nous arrache un être cher, nous sommes submergés par le chagrin. La Bible raconte que Jésus a pleuré devant la tombe de Lazare, un ami très cher. Pourtant, un instant plus tard, il a opéré un miracle stupéfiant : il a ramené Lazare à la vie (Jean 11:32-44! Ainsi, il a donné à tous les humains des raisons solides d’avoir foi en cette promesse magnifique qu’il avait faite au début de son ministère : “ L’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront [ma] voix et sortiront. ” (Jean 5:28, 29). Puissent tous ceux qui ont perdu des êtres chers se consoler dans la belle espérance d’une résurrection pour la vie dans le paradis terrestre ! — Actes 24:15.

 

 

Commentaires

vivrenotreamour le 01-07-2008 à 07:35:54
merci a toi pout ton soutien et ton amitié par moment j'ai l'impretion que je suis née sur cette terre umiquement pour souffrir tous ceux que j'aime me quite pourtant je suis pas un monstreje sais plus koi penser passe une bonne journée bis patricia
domangeevi le 26-06-2008 à 17:19:50
coucou merci pour ton passage sur mon blog

je decouvre aussi le tient et ce que je pense de toutes ces catastrophes naturelles

c'est que si l'homme ne détruisais pas la nature elle ne se vengerait pas !!!

dame nature reprend toujours le dessus
nostalgique le 24-06-2008 à 22:25:52
bonsoir ,merci pour ta visite je viens de lire ton premier article qui est trés bien écris et trés juste ,la seule vérité c'est dans la bible que l'on peut la trouver ,toutes les prophéties se rélévent exact et il ne reste plus guére de temps avant que la fin arrive ,dieu avais creer un monde parfait ,les humains l'on détruit quel dommage ,je reviendrais une autre fois lire d'autres articles ,trés bonne soirée .bisou
vivrenotreamour le 24-06-2008 à 21:50:11
merci a toi pour ton soutient vos mesage me fon du bien bis patricia
royaumechichi le 24-06-2008 à 11:58:04
passe une bonne journee chati

grossss bisoussss

oui notre terre est remplie de catastrophes et il faudra que ca cesse un jour et on attend ce jour avec impatiente

car il ya tro de tristesse sur cette terre

devenu si fragile!!!povre monde!!!!



tendress le 24-06-2008 à 09:59:58
Il y a de tout dans une vie.

http://marine83.vefblog.net
vivrenotreamour le 24-06-2008 à 09:01:40
je passe te souhaiter une bonne journée bis patricia
vivrenotreamour le 23-06-2008 à 21:19:42
je passe te souhaiter

Hebergeur d'images

bis patricia
lacalobra le 23-06-2008 à 13:26:33
hé oui personne peut savoir ce que l'avenir nous reserve c'est pourquoi il faut vivre intensement chaque jour qui passe, très bonne semaine biz flo.
mamounette V B le 22-06-2008 à 11:50:30
Quand on voit toutes les catastrophes on peut supposer que la terre disparaitera un jour!?

oui je trouve que la plupart des souffrances sont provoquées par les humains,c'est très injuste par exemple quand un conducteur provoque un accident parce qu'il est ivre et qu'il y a des morts ou bléssés parmis les passager d'autres voitures ou piétons!

même chose pour notre terre ,nous sommes quelques uns à essayer de la protéger pendant que d'autres la détruise!

(Je passe lire tes articles régulièrement)

même si je suis moins bavarde que la bà!lol). Bonne journée Chati gros bisous.
royaumechichi le 21-06-2008 à 17:25:23
hello chati

je vient te souhaitez un bon week end j'espere que tu n'as plus mal la tete et que tu n'est pas malade jte te fait de gros bisous a bientot


vivrenotreamour le 19-06-2008 à 18:23:56
bonsoir comment a ete ta journée moi sa va il y as pire mon cheri me manque est la fin de semaine qui aproche arrange rien


Hebergeur d'images
royaumechichi le 19-06-2008 à 10:38:14
bonne journee chati

bisoussss

a bientot


vivrenotreamour le 18-06-2008 à 10:19:09
bonjour bon je sais pas trop se qui se pase mais je vois aucune image donc je te souhaite une bonne journée et te dit a plus tard bisse patricia