audeladecettevie

Dialogues, échanges, sur les raisons de croire en Dieu..

posté le 08-05-2008 à 23:25:43

Parents indigne.....

Parents indignes: le stress suprême

“Etant donné que [les enfants] ont peu de rences en dehors de la famille, tout ce quils apprennent à la maison à propos d’eux-mêmes ou des autres se transforme en vérité universelle et s’ancre profondément dans leur esprit.” Docteur Susan Forward.

A L’IMAGE d’un potier qui, à partir d’une masse d’argile informe à laquelle il ajoute de l’eau dans les proportions voulues, peut façonner un joli vase, les parents façonnent la vision qu’un enfant a du monde et de lui-me. À force d’amour, de conseils et de discipline, ils font de leur enfant un adulte stable.

Trop souvent, pourtant, les impressions qui marquent l’esprit et le cœur d’un enfant sont le fait de parents indignes. Les mauvais traitements d’ordre affectif, physique ou sexuel créent des schémas de pensée déformés qui, une fois figés, sont difficiles à refaçonner.

La violence verbale


Les mots peuvent faire plus de mal que les coups. “Pour autant que je m’en souvienne, il ne se passait pas un seul jour sans [que mare] me dise qu’elle aurait aimé que je ne sois jamais”, raconte Jean. “On me faisait toujours comprendre que j’étais nulle ou pas assez bonne”, se souvient Carine.

La plupart des enfants ainsi rabaissés finissent par croire ce que l’on dit d’eux. Un garçon constamment traité d’imbécile peut en arriver à se trouver stupide. Qu’on taxe une fillette de bonne à rien, et elle le croira. Comme ils n’ont aucun recul, les enfants sont souvent incapables de faire la part entre ce qui est vrai et ce qui est bassement exagéré, voire complètement faux.

Les mauvais traitements physiques

Jérôme évoque les violences que lui faisait subir son père: “Brusquement, il me bourrait de coups de poing jusqu’à ce qu’il m’ait coincé contre le mur. Là, il continuait à me donner des coups si forts que j’étais tout étourdi (...). Le plus effrayant c’était de ne jamais savoir ce qui provoquait ces crises!”

Jacques aussi était fréquemment battu par son père. Un jour — il avait six ans —, celui-ci lui a cassé le bras. “Je ne voulais pas que lui, mes sœurs ou maman me voient pleurer, raconte-t-il. C’était la seule fierté qui me restait.”

Selon le livre Solide malgré tout (angl.), subir des violences physiques quand on est enfant, c’est comme “être victime d’un accident de voiture chaque jour, chaque semaine ou chaque mois”. De ces mauvais traitements l’enfant retient que le monde est dangereux et qu’il ne peut faire confiance à personne. Outre cela, la violence appelle souvent la violence. “Si l’on ne protège pas les enfants contre leurs bourreaux, fait remarquer la revue Time, il faudra un jour protéger la population contre les enfants.”

Les sévices sexuels


Selon une estimation, une fille sur trois et un garçon sur sept subissent une agression sexuelle avant d’atteindre l’âge de 18 ans. La plupart souffrent en silence. “Comme des soldats portés disparus, explique le livre L’enfance en crise, ils errent pendant des années dans une jungle de peur et de sentiment de culpabilité.”

Je haïssais profondément mon père parce qu’il abusait de moi et, en même temps, je me sentais terriblement coupable de le haïr! se rappelle Louise. J’avais honte parce qu’un enfant est supposé aimer ses parents et que je ne le faisais pas toujours.” Une telle confusion est compréhensible de la part d’un enfant qui voit son principal protecteur se muer en agresseur. “Comment admettre que notre père ou notre mère, quelqu’un censé nous aimer et nous entourer de soins, puisse faire si peu de cas de nous?” écrit Beverly Engel dans Le droit à l’innocence (angl.).

L’enfant victime de sévices sexuels risque d’avoir une vision complètementformée de la vie. “Tous les adultes violentés pendant leur enfance gardent de ce temps la conviction de ne jamais pouvoir être à la hauteur, d’être méprisables et profondément mauvais”, écrit le docteur Susan Forward.

“Ca ne s’arrête pas”

“Ce n’est pas seulement le corps de l’enfant que l’on maltraite ou dont on ne prend pas soin, écrit la chercheuse Linda Sanford. Dans les familles difficiles, c’est aussi son esprit que l’on souille.” Quel que soit le type d’agression — verbale, physique ou sexuelle —, l’enfant risque de grandir avec le sentiment qu’il n’est bon à rien, et indigne d’être aimé.

Devenu adulte, Jean, dont nous avons parlé précédemment, était tellement convaincu de ne rien valoir qu’il avait adopun comportement suicidaire. Se mettant inutilement dans des situations où il risquait sa vie, il estimait celle-ci en fonction du jugement de sa mère: ‘Tu n’aurais jamais dû naître.’

Analysant les conséquences des brutalités subies durant son enfance, Jérôme dit: “Ça ne s’arrête pas juste parce qu’on quitte la maison ou qu’on se marie. J’ai continuellement peur de quelque chose et je me déteste à cause de cela.” Sous l’effet de la tension qu’engendrent les violences physiques au foyer, de nombreux enfants grandissent en nourrissant des appréhensions et en cultivant des attitudes défensives qui les emprisonnent plutôt qu’elles ne les protègent.

Victime de l’inceste, Coralie s’est fait d’elle-même une fausse idée qu’elle a gardée une fois adulte: “Je pense encore souvent que les gens peuvent lire en moi et voir combien je suis répugnante.”

Toutes les formes de sévices distillent un enseignement nocif qui risque d’être profondément ancré dans l’individu à l’âge adulte. Certes, ce qui est appris peut être désappris. De nombreuses personnes dont les blessures se sont refermées peuvent en témoigner. Mais combien cela est préférable si les parents sont conscients que, dès sa naissance, ils façonnent la vision que leur enfant aura du monde et de lui-même! Le bien-être physique et affectif d’un enfant dépend dans une large mesure de ses parents.

 

 Comment pardonner et oublier

Pardonnez-vous volontiers les uns aux autres’, nous exhorte Éphésiens 4:32. Selon le bibliste William Vine, le mot grec rendu par “pardonner volontiers” (kharizomaï) signifie “accorder une faveur sans condition”. Quand l’offense est mineure, nous n’avons sans doute aucun mal à accorder notre pardon. Si nous nous souvenons de notre propre imperfection, nous nous montrerons indulgents envers autrui (Colossiens 3:13). En pardonnant au coupable, nous cessons d’éprouver du ressentiment, et nos relations avec lui n’en seront probablement pas affectées durablement. En général, le temps dissipera le souvenir d’une telle offense mineure.

Qu’en est-il, cependant, si quelqu’un pèche gravement contre nous, nous blessant profondément? Dans des cas extrêmes, comme l’inceste, le viol ou une tentative de meurtre, le pardon peut dépendre de plusieurs facteurs. Ce sera particulièrement le cas si le coupable ne reconnaît pas les faits, ne manifeste pas de repentir et ne présente pas d’excuses (Proverbes 28:13).

 

Jéhovah lui-même ne pardonne pas aux pécheurs non repentants et endurcis (Hébreux 6:4-6; 10:26). Si la plaie est profonde, nous n’arriverons peut-être jamais à chasser complètement de notre esprit ce qui s’est passé. Cependant, nous pouvons être assurés que dans le monde nouveau à venir, “on ne se remémorera pas les choses précédentes, et elles ne monteront pas au cœur”. (Esaïe 65:17; Révélation 21:4.) Rien de ce dont nous nous souviendrons alors ne produira une douleur profonde semblable à celle que nous ressentons peut-être actuellement.

Dans d’autres cas, il se peut qu’avant de pouvoir pardonner il nous faille faire le premier pas pour régler la question, peut-être en parlant à l’offenseur (Ephésiens 4:26). En procédant ainsi, il est possible de dissiper tout malentendu, ou à l’un de présenter des excuses et à l’autre d’accorder son pardon. Que faire pour oublier? Nous ne pourrons peut-être jamais chasser complètement de notre esprit ce qui s’est passé, mais nous pouvons oublier en ce sens que nous ne garderons pas rancune à celui qui nous a offensés ni ne remettrons la question sur le tapis à l’avenir. Nous n’en parlerons pas à droite et à gauche, et nous ne fuirons pas l’offenseur. Cependant, il faudra peut-être du temps pour retrouver de bonnes relations avec lui, et il est possible que nous ne jouissions plus de la même intimité à l’avenir.

Prenons un exemple: Supposons que vous ayez confié quelque chose de très personnel à un ami en qui vous aviez confiance, et que vous appreniez plus tard qu’il est allé le raconter à d’autres. Embarrassé, voire blessé, vous allez le trouver. Il est vraiment désolé; il présente des excuses et vous demande pardon. En l’entendant s’excuser, vous vous sentez enclin à lui pardonner. Mais parvenez-vous facilement à oublier ce qui s’est passé? Probablement pas; à l’avenir, vous serez certainement très prudent avant de lui confier quelque chose. Pourtant, vous lui avez pardonné; vous ne lui ressortez pas sans cesse le problème. Vous n’éprouvez pas de ressentiment, ni ne parlez de la question avec d’autres. Vous ne vous sentez peut-être pas aussi proche de lui qu’auparavant, mais vous éprouvez toujours envers lui l’amour qui revient à votre frère dans la foi. — Voir Proverbes 20:19.

Qu’en est-il, cependant, si en dépit de vos efforts pour résoudre le problème, celui qui vous a offensé ne reconnaît pas ses torts et ne vous fait pas ses excuses? Pouvez-vous p ardonner,   ne  plus épr ouver de ressenti ment? Pardonn er ne sig nifie pa s fermer les yeux sur ce que l es autres  ont fait ou en minimiser l’import ance.

 

Le ressentiment est un lourd fardeau; il peut envahir nos pensées et nous priver de la paix. Si nous continuons d’attendre des excuses qui ne viennent pas, nous risquons d’être de plus en plus amers. Cela revient à permettre à l’offenseur de se rendre maître de nos sentiments. On le voit, il nous faut pardonner, c’est-à-dire ne plus éprouver de ressentiment, non seulement pour son bien mais aussi pour le nôtre, car cela nous évitera d’être perturbés.

Pardonner n’est pas toujours facile. Mais s’il y a repentir sincère, nous essaierons d’imiter la miséricorde de Jéhovah. Quand il pardonne à des pécheurs repentants, il cesse d’éprouver du ressentiment; il passe l’éponge et oublie, en ce sens qu’il ne tient plus compte de leurs péchés. Nous pouvons, nous aussi, faire des efforts pour cesser d’éprouver du ressentiment envers un offenseur repentant. Il y a cependant des cas où nous ne sommes pas tenus de pardonner. On ne forcera personne, victime d’une injustice ou d’une cruauté extrêmes, à pardonner à un pécheur non repentant. (Voir Psaume 139:21, 22.) Toutefois, dans la plupart des cas où les autres pèchent contre nous, nous pouvons pardonner, en cessant d’éprouver du ressentiment, et nous pouvons oublier, en ne déterrant pas l’affaire.



“Il n’est pas demandé aux chrétiens de pardonner à ceux qui pratiquent le péché volontairement, avec malice, sans manifester le moindre repentir. De telles personnes se font ennemies de Dieu.” — Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible, page 1135. (Publié par la Watchtower Bible and Tract Society of New York, Inc.).

 

 


vos pensées

 

vivrenotreamour  le 22-06-2008 à 19:33:08  #   (site)

mon petit pasage pour te souhaiter
Hebergeur d'images

bis patricia

mamounette V B  le 12-05-2008 à 06:36:09  #

Coucou Chati! A propos de l'article sur l'enfance maltraité ,Je suis d'accord les mots peuvent faire autant de mal que les coups"j'ai eu la chance d'avoir une mère très aimante" Quand à l'inceste alors là c'est horrible,on entend en ce moment dans les médias des témoignages vraiment difficile à entendre!Comment faire pour pardonner de tels actes? Profiter d'un enfant ou d'un animal sans défense,il n'y a rien de pire à mes yeux.(tu peux me répondre en message privé elle fera suivre)Bonne journée.

royaumechichi  le 10-05-2008 à 20:59:34  #   (site)

hello chati
je viens te souhaiter bonne nuit!!!
merci pour ton joli livre d'amitié!!!
je te fais de gross bisousss!!!!
marilou

royaumechichi  le 09-05-2008 à 21:41:50  #   (site)

hello chati

je te fais de grosss bisoussss

bonne nuit!!!a demain!!!!

royaumechichi  le 09-05-2008 à 13:59:18  #   (site)

quand j'etais enfant je disais
toujours "je me vangerais quand je serai grande!!ma maman est méchante"

puis les annees ont passées j'ai connu mon mari !!ma maman m'a beaucoup aider quand j'ai eu mon 1er fils come mon accouchement s'es tres mal passé!
ma maman a été tres affectueuse et attentionné avec geoffrey et ca ma touché
o point d'etre jalouse de mon fils
oui lui mon fils a gagné l'amour de ma maman alors pourquoi moi j'ai po eu drois
a cet amour!!
pourquoi ma maman c'es attachée autant a mon fils?
JE CROIS DANS UN SENS que j'ai voulu lui offrir ce bébé pourtant si désiré mais beaucoup de mal a l'accepter et des que je pouvais l'enmener chez ma maman !!!
ca me faisait du mal car mon fils prenai sa
mamy pour sa maman et ca durer jusqu'a ces 6ans et la j'ai eu un declic !!j'ai resenti l'amour pour mon fils et quel soulagement!apres on a eu beaucoup de complicité mais sa mamy c'es po rien!!
et c'es normal pour lui mais je sais qu'il m'aime aussi !!
c'es dur pour moi d po etre jalouse!!

en fait je me sui po vangée de ma maman!!
et je n'en ai po envie!!!
smiley_id117175

royaumechichi  le 09-05-2008 à 13:34:14  #   (site)

la violence verbale est tres désastreuse sur nous méme mais je pense que ca rien a voir avec les autres traitements que tu cite dans ton article!!
là c'es vraiment affreux les movaix traitements tres violents et sévices sexuels! ca doit marquer a vie!!pou moi c'es rien comparé a ces pauvres enfants ou adultes qui on subis ce traumatisme!!!
si j'ai été battu mais po a ce point là!!
traitée aussi mais bon!!po pareil!!

bisouss chati
merci pour cet article tres dur !!
ca va aider beaucoup de personnes dans ce cas malheureusement!!

smiley_id117198

royaumechichi  le 09-05-2008 à 13:13:06  #   (site)

hello chati
merci pour ton soutien pour les animaux
abandonés!!!c'es vrai les
vacances arrivent et va y avoir encor beaucoup de malheureux grrrrrr

passe une bone apres midi
gros bisousss

chihuétte lol

 
 
posté le 01-05-2008 à 12:16:05

Comment lutter contre le sentiments d'indignités!!

Rongés de l’intérieur

 

Femme en proie à des sentiments négatifs

PENDANT une grande partie de sa vie, Lena a lutté contre un sentiment d’indignité. “ Des années de sévices sexuels durant mon enfance avaient tué en moi presque tout amour-propre, dit-elle. Je me sentais complètement inutile. ” C’est aussi le souvenir de sa jeunesse qui fait dire à Simone : “ Au fond de mon cœur, il y avait un grand vide, la conviction que je ne valais pas grand-chose. ”

 

Ce genre de mal-être semble de plus en plus fréquent de nos jours. Un service de conseils par téléphone spécialisé dans l’aide aux adolescents signale que près de la moitié de ses correspondants confessent des “ sentiments persistants de médiocrité ”.

 

De l’avis de spécialistes, l’autodénigrement est souvent le fait de personnes qu’on a persuadées de leur incompétence à force de reproches, de critiques acerbes, d’exploitation humiliante. Quelles que soient ses causes, un tel état d’esprit est accablant ; ses effets peuvent même être destructeurs.

 

Une étude médicale récente a montré que les individus qui se dévalorisent ont tendance à douter d’eux-mêmes et des autres, ce qui les porte inconsciemment à saboter les relations d’intimité ou d’amitié qu’ils pourraient établir. “ D’une certaine façon, résume le rapport, ils ‘ créent ’ eux-mêmes les situations qu’ils redoutent le plus. ”

 

Ces hommes et ces femmes sont victimes de ce que la Bible appelle leurs “ pensées troublantes ”. (Psaume 94:19.) Ils ne se trouvent jamais assez bien, se rendent instinctivement responsables de ce qui ne va pas. Les félicitations n’y changent rien : intérieurement, ils se voient comme des imposteurs que l’on démasquera tôt ou tard. S’estimant indignes d’être heureux, beaucoup adoptent un comportement autodestructeur qu’ils se sentent impuissants à enrayer. Chez Lena, l’absence d’estime de soi se traduisait par un grave trouble de l’alimentation. “ Je me sentais incapable de m’en sortir ”, dit-elle.

 

Faut-il se résigner à être rongé par ces “ pensées troublantes ” jusqu’à la fin de ses jours ? Y a-t-il quelque chose à faire ? Nombreux sont ceux qui ont découvert dans la Bible des principes et des conseils qui leur ont permis de remporter la victoire. Voulez-vous connaître quelques-uns de ces principes et savoir comment ils ont aidé certains à trouver la joie de vivre ? Lisez l’article suivant.

 

Femme lisant la Bible

La Bible peut vous aider
à trouver la joie

 

 

SANS être un manuel de médecine, la Bible décrit l’incidence des sentiments — positifs ou négatifs — sur la santé mentale et physique de l’individu. “ Un cœur qui est joyeux fait du bien comme guérisseur, dit-elle, mais un esprit qui est abattu dessèche les os. ” Ou encore : “ T’es-tu montré découragé au jour de la détresse ? Ta force sera mince. ” (Proverbes 17:22 ; 24:10). De fait, parce qu’il puise dans notre énergie, le découragement nous affaiblit et nous coupe même toute envie de changer ou de chercher de l’aide.

 

 

L’abattement peut aussi affecter la spiritualité. Beaucoup de ceux qui se dévalorisent s’estiment incapables d’être proches de Dieu et d’avoir sa bénédiction. Simone doutait d’être “ le genre de personne que Dieu approuve ”. Pourtant, il suffit d’ouvrir la Bible pour se rendre compte que Dieu a de l’estime pour qui s’efforce de lui plaire.

Dieu se soucie de nous

La Parole de Dieu l’affirme : “ Jéhovah est près de ceux qui ont le cœur brisé ; et il sauve ceux qui ont l’esprit écrasé. ” Loin de mépriser “ un cœur brisé et broyé ”, il promet au contraire de “ faire revivre l’esprit des humbles, [...] le cœur des hommes broyés ”. — Psaume 34:18 ; 51:17 ; Isaïe 57:15.

En une certaine circonstance, Jésus, le Fils de Dieu, a jugé nécessaire de faire prendre conscience à ses disciples que son Père voit ce qu’il y a de bon chez ses serviteurs. Usant d’un langage figuré, il a déclaré que Dieu remarque un simple moineau qui tombe à terre, incident auquel bien peu de gens prêteraient attention. Dieu connaît aussi les humains dans leurs moindres détails — jusqu’au nombre de leurs cheveux, a précisé Jésus. Et de conclure : “ N’ayez donc pas peur : vous valez plus que beaucoup de moineaux. ” (Matthieu 10:29-31).

 

Autrement dit : quoi qu’ils pensent d’eux-mêmes, les hommes et les femmes de foi ont du prix aux yeux de Dieu. Vérité que l’apôtre Pierre a énoncée ainsi : “ Dieu n’est pas partial, mais [...] en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui. ” — Actes 10:34, 35.

Un point de vue raisonnable

Homme lisant la Bible

La Parole de Dieu nous invite à nous évaluer avec mesure. L’apôtre Paul a écrit sous inspiration : “ En vertu de la faveur imméritée qui m’a été donnée, je dis à chacun d’entre vous de ne pas penser de lui-même plus qu’il ne faut penser ; mais de penser de manière à être sain d’esprit, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée en partage. ” — Romains 12:3.

 

 

&Evidemment, il ne conviendrait pas d’avoir une trop haute opinion de soi — ce serait de la suffisance ; mais il ne faut pas non plus tomber dans l’autre extrême en estimant qu’on ne vaut rien. Il faut se juger de façon raisonnable en faisant la part de ses points forts et de ses limites. Une chrétienne a résumé ainsi sa manière de voir : “ Je ne suis pas ce qui se fait de mieux ; mais je ne suis pas non plus le mal incarné. Il y a chez moi du bon et du mauvais, comme chez tout le monde. ”

 

Atteindre un tel équilibre est plus facile à dire qu’à faire. On n’inverse pas comme cela l’image négative qu’on s’est forgée de soi depuis des années. Mais, avec l’aide de Dieu, c’est possible : on peut changer sa personnalité et modifier le regard qu’on porte sur sa vie. C’est d’ailleurs ce que la Bible nous presse de faire, quand elle dit : “ [Rejetez] la vieille personnalité qui correspond à votre conduite passée et qui se corrompt selon ses désirs trompeurs ; mais [soyez] renouvelés dans la force qui anime votre intelligence et [revêtez] la personnalité nouvelle qui a été créée selon la volonté de Dieu dans une justice et une fidélité vraies. ” — &Ephésiens 4:22-24.

 

En modifiant consciemment ‘ la force qui anime notre intelligence ’, c’est-à-dire l’inclination dominante de notre esprit, nous transformons notre personnalité, et le pessimisme peut alors céder le pas à l’optimisme. Lena a fini par comprendre qu’elle ne pourrait pas avoir une meilleure opinion d’elle-même tant qu’elle serait persuadée qu’on ne peut ni l’aimer ni l’aider. Quelles pensées bibliques ont permis à Lena, à Simone et à d’autres d’opérer cette transformation ?

Des principes bibliques

qui favorisent la joie

Homme en train de prier

“ Jette ton fardeau sur Jéhovah lui-même, et lui te soutiendra. ” (Psaume 55:22). La prière est primordiale pour trouver la joie de vivre. Simone confie : “ Quand je suis découragée, je me tourne vers Jéhovah et je lui demande son aide. Je ne me souviens pas d’une situation où il ne m’ait fortifiée et guidée. ” En nous invitant à jeter notre fardeau sur Jéhovah, le psalmiste nous rappelle que Dieu se soucie de nous, mais aussi qu’il nous juge dignes de recevoir son aide et son soutien. Le soir de la Pâque 33 de notre ère, les disciples de Jésus étaient attristés parce que celui-ci leur avait annoncé l’imminence de son départ. Jésus les a alors exhortés à prier le Père, précisant : “ Demandez et vous recevrez, pour que votre joie devienne complète. ” — Jean 16:23, 24.

Témoin de Jéhovah parlant de la Bible à un homme

“ Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. ” (Actes 20:35). Comme Jésus l’a enseigné, donner rend vraiment heureux. Donner nous oblige à nous concentrer sur les besoins d’autrui au lieu de nous focaliser sur nos lacunes. Nous avons une meilleure image de nous-mêmes quand nous rendons service et que nous en sommes remerciés. Lena est convaincue que le fait de prêcher régulièrement la bonne nouvelle contenue dans la Bible lui est bénéfique sous deux rapports. “ Premièrement, dit-elle, cela me procure le bonheur et la satisfaction dont Jésus a parlé. Deuxièmement, je recueille beaucoup de réactions positives, ce qui m’aide à trouver la joie. ” En donnant généreusement de nous-mêmes, nous vérifions la véracité de Proverbes 11:25 : “ Celui qui arrose abondamment autrui sera lui aussi abondamment arrosé. ”

“ Tous les jours de l’affligé sont mauvais ; mais celui qui a le cœur joyeux vit un festin constant. ” (Proverbes 15:15). C’est à chacun de décider comment il se voit et comment il perçoit sa situation. Nous pouvons voir tout en noir et nous affliger, ou choisir de penser positivement, d’avoir “ le cœur joyeux ” comme si nous assistions à un festin. “ J’essaie de rester le plus optimiste possible, dit Simone. Je consacre beaucoup de temps à l’étude individuelle et à la prédication, et je persévère dans la prière. J’essaie aussi de m’entourer de gens optimistes et d’être là pour les autres. ” Un tel état d’esprit favorise la joie de vivre. La Bible nous recommande en effet : “ Réjouissez-vous en Jéhovah et soyez joyeux, vous les justes ; et poussez des cris de joie, vous tous qui avez le cœur droit ! ” — Psaume 32:11.

“ Un véritable compagnon aime tout le temps et c’est un frère qui est né pour les jours de détresse. ” (Proverbes 17:17). Se confier à un proche ou à une personne de confiance permet parfois d’éliminer les sentiments négatifs avant qu’ils ne nous submergent. Parler aide aussi à relativiser les choses, à porter sur les événements un regard positif. “ Ça fait du bien de s’épancher, confirme Simone. On a besoin d’exprimer à quelqu’un ce qu’on ressent, de mettre des mots sur les choses. Il n’en faut souvent pas plus. ” Essayez, et vous constaterez que le proverbe dit vrai : “ L’appréhension dans le cœur de l’homme fait se courber son cœur, mais une bonne parole le réjouit. ” — Proverbes 12:25.

Ce que vous pouvez faire

Nous n’avons considéré ici que quelques-uns des nombreux principes bibliques qui peuvent aider à vaincre les sentiments négatifs et à trouver la joie de vivre. Si vous êtes de ceux que ronge un sentiment d’indignité, nous vous encourageons à vous intéresser de près à la Bible. Apprenez à cultiver un point de vue à la fois réaliste et sain sur vous-même et sur vos relations avec Dieu. Nous espérons sincèrement qu’ainsi guidé par la Parole de Dieu vous vous sentirez heureux dans tout ce que vous ferez.

Groupe de personnes joyeuses

L’application des principes bibliques favorise la joie.

 

 

 


vos pensées

 

Edenlove  le 16-07-2008 à 16:44:58  #   (site)

je n'ais pas vu l'episode sur la maladie , mais cet article m'aideras beaucoup, pour tenir le coup, comme on dit... merci pour m'avoir redonné du courage .. te fais de gros bisous et passe une douce soirée
Hebergeur d'images

lolabreizh  le 08-05-2008 à 16:39:44  #   (site)

Je viens chez toi car tu es pleine de sagesse et j'ai besoin de ton avis sur mon blog... Je sais que tu aura un avis objectif !!! Bonne soirée, bisous

royaumechichi  le 08-05-2008 à 08:40:37  #   (site)

hello chati!!!
je te souhaite une bonne journee encor ensoleillé!!
je te fais de gros bisous!!
a bientot!!!

marilou

royaumechichi  le 07-05-2008 à 07:43:44  #   (site)

hooooo excuse je me sui trompé d'images pfff je vais remettre l'autre j'croi que j'sui po reveiller lol

royaumechichi  le 07-05-2008 à 07:38:27  #   (site)

un ptit bonjour du matin ensoleillé!!
bonne journee Chati!!!
bisouss

marilou

royaumechichi  le 06-05-2008 à 07:57:18  #   (site)

bonjour chati
je viens te souhaiter une bonne journee
mercii pour ta jolie bible c'es tres joli!!
bisousss


marilou

royaumechichi  le 04-05-2008 à 20:18:15  #   (site)

coucou chati
je viens te dire bonne nuit
bisoussss tout pleins!

aufrey  le 03-05-2008 à 14:03:25  #   (site)

Bjr et bon w.end a toi!
Merci pour ton dernier passage dans mon blog et aussi pour le dernier article tres edifiant dans ton blog.
NB: j'ai efface tes derniers commentaires,j'espere que t'es contente mtnt:-))))
take care!

chihuétte  le 02-05-2008 à 22:02:49  #

RHHHOOOOOO C ES HONTEUX CE QU ILS MARQUE
DANS VOTRE PTIT TAGBOARD!!!!
ils n'on qu'a po venir dans ton blog si ca les interresse po au lieu d'insulter sans savoir!!! c'es triste de voir ca!!!

groosss bisoussss bonne nuit

royaumechichi  le 02-05-2008 à 15:36:50  #   (site)

oui c'es dur quand on a aucune estime de soi!!!c'es vrai qu'on se décourage tres vite et c'es le non retour!!on s'enfonce de plus en plus!!a vouloir se détruire tellement on se sent rien du tout inutile!!!
!!pui on se sens seule mal aimé et on ne connai plus le bonheur!!
on est dans le malheur et on ne peu plus s'en sortir !!!!!!!!!!la dépression s'installe et c'es le gouffre!!on a décidé de ne plus avoir le droit de vivre ou plus l'envie de se battre!!!
pourquoi n'est je pas demander l'aide de dieu dans ces moments là!!je n'en ai pas eu l'occasion et depui que je sui marié
je n'osai plus parler de dieu et je me sui élogné de lui !!
pourtant dans mon enfance je me cachai moins pour lire des paroles de dieu!!!

je me serai peut etre pas fait autant de mal(autodestruction)tant de souffrance!!!

bisoussss merciii pour cet article tres interressant

smiley_id117190

 
 
 

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Surtout ne m'en veux pas si je ne passe pas tous les jours te saluer le temps est trop précieux et mon but est le vrai dialogue n'empêche que parfois mon kikou te parviendra mais je ne validerai plus que les vrais commentaires
Je t'en remercie paix à toi
kissous doux chati
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