“ JE N’AI pas peur de mourir, a confié une dame âgée qui vit au Japon. Mais je suis triste à la pensée de devoir un jour me séparer de mes fleurs. ” La chrétienne qui lui rendait visite comprenait le sentiment de cette femme, car celle-ci avait un beau jardin. Beaucoup de ceux qui affirment ne pas avoir peur de mourir apprécient grandement les merveilles de la création et, en réalité, aspirent peut-être à vivre éternellement.
"Ainsi la foi naît de ce qu’on a entendu. Et ce qu’on a entendu vient par la parole concernant Christ. (Romains 10:17)"
“ Il est à craindre que des événements extrêmes imputables aux changements climatiques aient des conséquences de plus en plus graves dans l’avenir. Cela signifie que nous devons envisager de nouveaux genres de risques climatiques et l’éventualité de plus lourdes pertes. [...] En vertu du principe de précaution, il serait avisé que nous nous préparions à des changements spectaculaires. ”
L'espoir merveilleux de la résurection!
Le mot grec anastasissignifie littéralement actiondeselever,desemettredebout. Il est employé fréquemment dans les Ecritures grecques chrétiennes en rapport avec la résurrection des morts.
Résurrection pour la vie et pour le jugement. Jésus fit aux humains cette promesse réconfortante : “ L’heure vient, et c’est maintenant, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui auront été attentifs vivront. [...] Ne vous étonnez pas de cela, parce que l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une résurrection de vie, ceux qui ont pratiqué des choses viles, pour une résurrection de jugement. ” — Jn 5:25-29.Un jugement de condamnation. Dans ces paroles de Jésus, le mot “ jugement ” traduit le grec krisis. Selon J. Parkhurst, les sens de ce mot dans les Écritures grecques chrétiennes sont les suivants : “ I. Jugement. [...] II. Jugement, justice. Mat. xxiii. 23. Voir xii. 20. [...] III. Jugement de condamnation, condamnation, damnation. Marc iii. 29. Jean v. 24, 29. [...] IV. La cause ou le motif de la condamnation ou du châtiment. Jean iii. 19. V. Un tribunal particulier chez les Juifs, [...] Mat. v. 21, 22. ” — A Greek and English Lexicon to the New Testament, Londres, 1845, p. 342.Si, en parlant du jugement, Jésus avait pensé à un procès dont l’issue pouvait être la vie, alors cette résurrection ne présenterait pas de contraste avec la “ résurrection de vie ”. Par conséquent, le contexte indique que par “ jugement ” Jésusentendait un jugement de condamnation.“ Les morts ” qui entendirent Jésus parler sur la terre. En étudiant les paroles de Jésus, on note que, lorsqu’il parla, certains d’entre “ les morts ” entendaient sa voix. Pierre employa une expression analogue quand il dit : “ En fait, c’est pour cela que la bonne nouvelle a aussi été annoncée aux morts, afin qu’ils puissent être jugés quant à la chair du point de vue des hommes, mais qu’ils puissent vivre quant à l’esprit du point de vue de Dieu. ” (1P 4:6). Il en était ainsi parce que ceux qui entendaient Christ étaient ‘ morts dans leurs fautes et leurs péchés ’ avant d’avoir entendu, mais qu’ils commenceraient à ‘ vivre ’, spirituellement parlant, en raison de leur foi en la bonne nouvelle. — Ép 2:1 ; voir aussi Mt 8:22 ; 1Tm 5:6.Jean 5:29 parle de la fin de la période de jugement. Mais il est un point très important, qui permet de situer le moment visé par les paroles de Jésus concernant la ‘ résurrection de vie et la résurrection de jugement ’. Il s’agit de son commentaire précédent dans le même contexte au sujet de ceux qui vivaient à l’époque et étaient spirituellement morts (explication sous l’intertitre ‘ Passer de la mort à la vie ’) ; le voici : “ L’heure vient, et c’est maintenant, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui auront été attentifs [littéralement, mot pour mot : “ les (ceux) ayant entendu ”] vivront. ” (Jn 5:25, Int). Cela indique que Jésus ne parlait pas simplement de ceux qui entendraient de leurs oreilles sa voix, mais plutôt de ceux “ ayant entendu ”, c’est-à-dire ceux qui après avoir entendu accepteraient pour vrai ce qu’ils entendaient. La Bible emploie très souvent les termes “ entendre ” et “ écouter ” au sens d’“ être attentif ” ou d’“ obéir ”. (Voir OBÉISSANCE.) Ce sont donc ceux qui s’avèrent obéissants qui vivront (voir l’emploi du même terme grec [akouô], “ entendre ou écouter ”, en Jn 6:60 ; 8:43, 47 ; 10:3, 27). Ils sont jugés, non sur ce qu’ils ont fait avant d’entendre sa voix, mais sur ce qu’ils font après l’avoir entendue.Donc, Jésus se plaçait sans doute de manière analogue dans le temps quand il parla de “ ceux qui ont fait des choses bonnes ” et de “ ceux qui ont pratiqué des choses viles ” ; il se plaçait à un certain moment à la fin de la période de jugement, et se figurait regardant rétrospectivement les actions des ressuscités après qu’ils auraient eu l’occasion d’obéir ou de désobéir aux “ choses écrites dans les rouleaux ”. Ce n’est qu’à la fin de la période du jugement que deviendraient manifestes qui a fait le bien et qui a fait le mal. Pour “ ceux qui ont fait des choses bonnes ” (selon les ‘ choses écrites dans les rouleaux ’), l’issue serait la vie en récompense ; pour “ ceux qui ont pratiqué des choses viles ”, ce serait un jugement de condamnation. La résurrection s’avérerait soit une résurrection pour la vie, soit une résurrection pour la condamnation.Cette façon de présenter les choses du point de vue de leur issue, ou d’en parler comme si elles étaient déjà accomplies, en les envisageant sous un angle rétrospectif, est courante dans la Bible. Dieu n’est-il pas “ Celui qui dès le commencement révèle la conclusion, et dès les temps anciens les choses qui n’ont pas été faites ” ? (Is 46:10.) Jude fait la même chose lorsqu’il parle d’hommes corrompus qui se sont glissés dans la congrégation, disant à leur propos : “ Tant pis pour eux, parce qu’ils sont allés dans le chemin de Caïn, ils se sont jetés pour un salaire dans l’égarement de Balaam, ils ont péri [littéralement : “ se sont détruits eux-mêmes ”] dans les propos séditieux de Qorah ! ” (Jude 11). Certaines prophéties sont écrites dans un langage similaire. — Voir Is 40:1, 2 ; 46:1 ; Jr 48:1-4.Il s’ensuit que l’angle de vue adopté en Jean 5:29 n’est pas le même qu’en Actes 24:15, où Paul parle de la résurrection “ tant des justes que des injustes ”. Paul pense manifestement à ceux qui ont eu une condition de justes ou d’injustes devant Dieu pendant la vie présente, et qui seront ressuscités. Il s’agit de “ ceux qui sont dans les tombes de souvenir ”. (Jn 5:28 ; voir TOMBE DE SOUVENIR.) En Jean 5:29, Jésus considère ces personnes après qu’elles sont sorties des tombes de souvenir et après que, au cours du règne de Jésus Christ et des rois et prêtres associés à lui, elles se sont montrées soit obéissantes, avec pour récompense la “ vie ” éternelle, soit désobéissantes, méritant le “ jugement [la condamnation] ” de Dieu.<o></o>
Certains ne seront pas ressuscités.S’il est vrai que le sacrifice rédempteur de Christ fut donné en faveur des humains en général, Jésus indiqua que son application effective serait cependant limitée lorsqu’il dit : “ De même que le Fils de l’homme est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup. ” (Mt 20:28). Jéhovah Dieu est en droit de refuser une rançon proposée pour quelqu’un qu’il juge indigne. La rançon de Christ couvre les péchés que quelqu’un a parce qu’il descend du pécheur Adam, mais on peut aggraver son cas en se livrant délibérément et volontairement au péché, et on peut donc mourir pour ce péché qui ne saurait être couvert par la rançon.Le péché contre l’esprit saint. Jésus Christ expliqua que quiconque péchait contre l’esprit saint ne serait pardonné ni dans ce système de choses-ci ni dans celui qui est à venir (Mt 12:31, 32). Une personne dont Dieu jugerait qu’elle a péché contre l’esprit saint dans ce système de choses-ci ne retirerait donc aucun avantage d’une résurrection, puisque ses péchés ne lui seraient jamais pardonnés, ce qui rendrait la résurrection inutile pour elle. Jésus prononça un jugement contre Judas Iscariote en l’appelant “ le fils de destruction ”. La rançon ne s’appliquerait donc pas à lui et, sa destruction étant d’ores et déjà une décision judiciairement établie, il ne recevrait pas de résurrection. — Jn 17:12.S’adressant à ses adversaires, les chefs religieux Juifs, Jésus déclara : “ Comment pourrez-vous fuir le jugement de la géhenne [symbole de destruction éternelle] ?(Mt 23:33 ; voir GEHENNE). Ses paroles indiquent que si ces personnes ne réagissaient pas et ne se tournaient pas vers Dieu avant leur mort, un jugement de condamnation définitif serait porté contre elles. Dans ce cas, une résurrection ne leur servirait à rien. Apparemment, ce serait aussi le cas del’homme d’illégalité ”.2Th 2:3, 8 .
EnseignonscequenseignerellementlaBible Faites des disciples de gens d’entre toutes les nations, les [...] enseignant. ” — MATTHIEU 28:19, 20.LA PAROLE DE DIEU, la Sainte Bible, est l’un des livres les plus anciens et les plus largement diffusés au monde. Elle a été traduite, en totalité ou en partie, en quelque 2 300 langues. Plus de 90 % de l’humanité peut la liredans sa langue maternelle.
LA PEUR a d’innombrables causes. Certaines personnes, par exemple, tremblent pour l’avenir de la planète. Depuis les canicules jusqu’aux tempêtes, en passant par les inondations, les incendies et la fonte massive des glaces, partout le climat semble devenir fou ”, lisait-on dans la revue Time du 3 avril 2006.
ETES–VOUS déjà allé dans un zoo ou dans un cirque ? Avez-vous eu envie de serrer dans vos bras ou de caresser l’une de ces bêtes magnifiques, par exemple un lion majestueux ou un gros tigre de Sibérie ? Peut-être avez-vous frissonné en voyant un dresseur ou un gardien le faire. Il y a presque 2 000 ans, un des rédacteurs de la Bible a déclaré, à juste titre : “ Toute espèce de bêtes sauvages ainsi que d’oiseaux et de bêtes rampantes et d’animaux marins va être domptée et a été domptée par l’espèce humaine. ” — Jacques 3:7.