audeladecettevie

Dialogues, échanges, sur les raisons de croire en Dieu..

posté le 12-05-2008 à 00:09:46

Seul, mais pas abandonné

Seul, mais pas abandonné

 Quand mes enfants rentrent à la maison, quils me serrent contre eux et me disent quils maiment, cest ma plus belle récompense de mère.  DORIS, MÈRE SEULE DE DEUX ENFANTS.

LES parents isolés peuvent trouver duconfort dans cette déclaration bibliqu: “ Les enfants sont unenédiction et un don du SEIGNEUR. ” (Psaume 127:3, Contemporary English Version). Les enfants élevés dans une famille monoparentale n’en sont pas moins précieux aux yeux de Dieu. Le Créateursire que ces familles soient heureuses. La Bible dit de lui : Il vient en aide à l’orphelin de père et à la veuve. ” (Psaume 146:9). Les parents seuls peuvent être certains que Dieu ne demande qu’à les soutenir.

 

Un enfant a le droit dêtre éle dans un environnement sûr et plein damour, qui permet son épanouissement physique, affectif et spirituel. Chaque parent a le devoir et le privilège dêtre utilisé par Dieu pour éduquer son enfant.

De nombreux parents seuls ont consta l’importance des prres ferventes, de l’application constante des principes bibliques et d’une confiance totale en hovah. Cela va dans la droite ligne de l’exhortation contenue en Psaume 55:22 : “ Jette ton fardeau sur hovah lui-même, et lui te soutiendra. ”

De temps en temps, les grands-parents, les anciens ou des parents exrimentés dans la congrégation locale sont pour aider les familles monoparentales dans les situations pénibles. Certes, les proches et les compagnons chrétiens peuvent faire beaucoup pour épauler un parent seul, mais c’est de toute façon à lui que Dieu a confié la responsabilité de s’occuper de ses enfants*.

Heureusement, bon nombre de pères et de mères isolés ont surmon avec sucs les difficuls inhérentes à leur situation et ont fait de leurs enfants des personnes responsables, bien élevées et craignant Dieu. veillez-vou! en a interro certains. Voici quelques points que ces parents ont en commun.

  • Une bonne organisation du foyer. Ils sefforcent d’être bien organisés et de s’acquitter du mieux possible de leurs différentes activis, ce qui requiert de la prévoyance. La Bible déclare : “ Les plans de l’homme diligent conduisent à un avantage.  Proverbes 21:5.
  • Un sentiment dengagement. Ils placent leur vie de famille parmi leurs priorités. Ils sévertuent à faire passer les besoins de leurs enfants avant les leurs. 1 Timothée 5:8.
  • Une approche équilibrée. Ils ne minimisent ni nexarent leurs problèmes ; ils cherchent des solutions. Ils acceptent les difficultés et essaient de les résoudre sans sapitoyer sur leur sort ni saigrir.
  • L’art de communiquer. Ils entretiennent une bonne communication. Ils encouragent les membres de la famille à exprimer clairement et ouvertement ce qu’ils pensent et ce qu’ils ressentent. Voici ce que dit un père seul à propos de ses enfants : “ Je saisis toutes les occasions de leur parler. Nous avons nos moments de complicité quand nous préparons le repas du soir. C’est qu’ils se confient vraiment à moi. ”
  • Le bon sens de s’occuper de soi. Malg leurs nombreuses obligations, ils conviennent qu’il est important pour eux de combler leurs besoins spirituels, affectifs et physiques. Esther, mère divore de deux enfants, expliqu: “ J’essaie de me réserver du temps. Par exemple, quand une amie vient donner aux enfants leur leçon de musique, je dispose d’une heure pour moi. Je m’assois et je n’allume pas la vision. ”
  • Un état d’esprit constructif. Ils maintiennent un regard positif sur leur rôle de parent et sur la vie en néral. Ils voient le bon côté des situations stressantes. Une mère célibataire confie :  Jen suis venue à me rendre compte qu’élever seule ses enfants  na pas que de mauvais côtés!

    Ils y sont arrivés

  • Létude de la Bible en famille a aidé les trois enfants de Gloria à devenir ministres chrétiens à plein temps. Ici, ils regardent une lettre et une photo du fils aîné, aujourdhui missionnaire.

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    Ces principes sont-ils efficaces ? Oui, comme l’atteste l’exemple de nombreux parents seuls qui ont réussi l’éducation de leurs enfants. Gloria, citée dans le premier article, une mère divorcée qui travaille en Angleterre, a élevé seule deux fils et une fille. Tous les trois sont à présent ministres chrétiens à plein temps et consacrent leur vie à enseigner la Bible. Comment Gloria s’y est-elle prise ? “ Le premier défi, explique-t-elle, consistait à tenir régulièrement une étude biblique intéressante en famille. Je voulais que les enfants soient heureux, qu’ils aient la paix de l’esprit, qu’ils soient comblés et préservés des pièges. J’ai trouvé un emploi de nuit. Mon objectif était d’avoir les enfants avec moi aussi souvent que possible. Avant d’aller au travail, je priais avec eux et je les mettais au lit. Ma tante les gardait pendant mon absence. ”

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    Comment Gloria a-t-elle aidé ses enfants à se fixer les bonnes priorités ? Elle poursuit : “ Mon souci majeur était de mettre les choses spirituelles en premier. Nous n’avions pas beaucoup d’argent, et j’en parlais franchement avec les enfants. Ce que je leur demandais de faire, je le faisais aussi, et ils étaient tous coopératifs. ” Quant à ce qui a maintenu la famille unie, Gloria dit : “ Le secret, c’était de faire des choses ensemble. Personne ne s’isolait dans sa chambre. Nous faisions la cuisine, le ménage et les travaux de décoration ensemble. Nous avions des activités équilibrées. Je m’assurais toujours que la détente ait aussi sa place. ”

Carolyn et son fils, Joseph.

  • Carolyn, qui vit seule avec son petit garçon prénommé Joseph, se réjouit de la façon dont il évolue. Quel est son secret ? “ Nous lisons la Bible ensemble avant d’aller nous coucher, explique-t-elle, puis je lui pose des questions sur ce qu’il a appris. Ensuite, nous examinons des paragraphes choisis dans des publications bibliques et nous en faisons une application personnelle. Cela aide Joseph lorsqu’il a des problèmes, comme les brimades à l’école. ” Carolyn reconnaît que sa vie n’a rien de facile, mais elle ne se sent pas abandonnée. Elle fait cette remarque : “ C’est une lutte constante, mais je ressens vraiment l’aide de Jéhovah. Je reçois également beaucoup d’encouragements de la congrégation chrétienne. ”

    Les témoignages de nombreux parents seuls, telles Gloria et Carolyn, démontrent qu’en s’appuyant sur les principes bibliques, des principes éprouvés, il est possible de faire de ses enfants des adultes épanouis et spirituellement forts (Proverbes 22:6). Le bonheur est à votre portée ! La monoparentalité présente de nombreuses difficultés qui sont autant d’occasions de progresser et de partager. La meilleure façon de vaincre ces difficultés est de se reposer pleinement sur Dieu et d’être convaincu qu’il apportera son aide. — Psaume 121:1-3.

    *  Vous trouverez d’autres conseils sur les familles monoparentales dans le chapitre 9 du livre Le secret du bonheur familial, publié par les Témoins de Jéhovah.

     
       

 

 


vos pensées

 

lolabreizh  le 15-05-2008 à 16:34:52  #

Je le pense aussi, c'est ma force quand je ne vais pas bien... Merci pour ton aide, gros bisous

royaumechichi  le 13-05-2008 à 09:00:20  #   (site)

hello chati

bon courage pour ce début de semaine!!
je te fais pleins de bisous et te souhaite une bonne journee!!!!

chichi marilou

ptiteotaku  le 12-05-2008 à 19:30:03  #   (site)

Pour poursuivre le débat et répondre à ta question:
J'ai eu l'occasion de me demander par moi même si je croyais ou non, entre ma grand mère qui n'y croit pas du tout, ma mère qui a plein de croyances bizarres ^^# (style les fantômes, la réincarnation, les points de force sur la planètes...les croyance de ma mère ressemblent étrangement à un conte de fée ^^) et l'école catholique où j'ai fait mon primaire.
J'essaye de vivre ma vie de façon à pouvoir me dire "si je meurs demain, je ne regretterais pas d'avoir fait ce que j'ai fait, il n'y aurait rien que je regretterais de ne pas avoir fait", je pense que si Dieu, ou peu importe le nom qu'on lui donne, si il m'aime vraiment sera content que je lui dise que j'ai vraiment appréciée le cadeau qu'il m'a fait en me donnant la vie et que je suis heureuse d'avoir vécu cette vie.
Pour ce qui concerne ma vie sexuelle, j'essaye de ne pas blesser ceux avec qui je la partage, quand j'ai des fantasmes sur des amies que je sais hétéros je les gardes pour moi, quand j'ai été en couple avec un garçon qui ne trouvait pas bien certains jeux qui n'étaient pas en accord avec sa foie (lui était croyant) après lui avoir dis une fois qu'il pouvait si il voulait et avoir vu qu'il voulait pas je lui ai jamais demandé de faire des choses qu'il ne trouvait pas agréable, donc je pense que je ne blesse personne avec ma bi-sexualitée. Par contre si j'aime une fille et que cette fille n'est pas gênée par le fait que je soit moi même une fille, alors je l'embrasserais et je l'aimerais de toutes les façons dont deux personnes peuvent s'aimer et je me foutrais de ce qu'en pense Dieu.

royaumechichi  le 12-05-2008 à 10:25:29  #   (site)

hello chati
je te souhaite une bonne journee et te
fais de gross bisousss!!
a bientot!!
youpii on a encor du soleil ce matin!!

 
 
posté le 11-05-2008 à 23:36:28

Parent seul, difficultés multiples

Parent seul, difficuls multiples

“ J’éprouve toutes sortes de sentiments. Je passe des nuits à pleurer dans les toilettes. C’est plut dur. ” JANET, MERE SEULE DE TROIS ENFANTS.

 

DE NOMBREUSES situations peuvent être à lorigine des familles monoparentales. Ainsi une guerre, une catastrophe naturelle, une maladie ont pu emporter l’un des parents.

 

Les parents de certains enfants décident de ne pas se marier. Par exemple, en Suède, presque la moitié des enfants naissent hors mariage. Le divorce aussi crée des foyers monoparentaux. Une étude révèle que plus de 50 % des enfants américains vivront une partie de leur jeunesse dans une famille monoparentale.

Comprendre les difficultés

Les mères veuves depuis peu ont un fardeau particulier à porter. Pleurant encore leur conjoint disparu, elles doivent néanmoins assumer la charge d’un foyer. Elles mettront des mois, voire des années, à s’adapter à leur nouvelle situation tout en se débattant contre les problèmes économiques et en s’efforçant de consoler leurs enfants. Une mère veuve trouvera extrêmement difficile d’endosser ces responsabilités supplémentaires. Les enfants risquent d’être privés de la direction parentale nécessaire, à un moment où ils ont désespérément besoin d’attention et de réconfort.

 

Les mères célibataires qui n’ont pas épousé le père de leur(s) enfant(s) sont souvent très jeunes et manquent d’expérience. Un certain nombre d’entre elles n’ont pas pu achever leurs études. Sans compétences professionnelles, elles sont davantage sujettes à la pauvreté et susceptibles d’occuper des emplois peu rémunérés. Si elles ne bénéficient pas du soutien de leur famille, celui de leurs parents par exemple, elles doivent en plus trouver une garderie convenable pour leurs enfants. Une mère non mariée peut également être en proie à un sentiment de honte ou de solitude. Elle pourrait redouter, avec un enfant, de ne jamais trouver de conjoint qui lui convienne. Les enfants qui grandissent dans de tels foyers sont parfois eux-mêmes taraudés par des questions laissées sans réponse concernant leurs racines, ainsi que par le besoin d’être acceptés par le parent absent.

 

 Pareillement, les parents

 

 

 

qui divorcent connaissent un stress considérable. Il n’est pas rare qu’ils éprouvent une grande colère. Une impression de médiocrité et un profond sentiment de rejet peuvent aussi entraver leur capacité à donner de l’affection à leurs enfants. Les mères qui doivent entrer sur le marché du travail pour la première fois ont peut-être du mal à assurer la gestion du foyer. Elles ont l’impression de n’avoir ni le temps ni la force de répondre aux besoins spécifiques de leurs enfants, eux-mêmes aux prises avec des bouleversements résultant du divorce de leurs parents.

Le cas épineux des parents divorcés

Les parents isolés se rendent compte que leurs enfants ont des besoins différents et en constante évolution. Les divorcés sont placés devant un défi particulier, celui d’accorder aux enfants des chances raisonnables de recevoir une direction spirituelle.

 

Prenons le cas d’un parent divorcé Témoin de Jéhovah qui n’a pas la garde de ses enfants. Certains Témoins dans cette situation se sont efforcés d’obtenir leur droit de visite à un moment qui inclut une réunion chrétienne. Cet arrangement permet aux enfants d’avoir un contact régulier avec la congrégation chrétienne, ce qui leur est d’un grand profit dans leur situation.

 

Les parents divorcés qui ont moins de chances de voir leurs enfants régulièrement chercheront des moyens de les assurer de leur amour et de leur tendresse. Pour cela, ils doivent être sensibles à l’évolution de leurs besoins affectifs. Cela est d’autant plus vrai au moment de l’adolescence, quand l’intérêt de l’enfant pour les sorties grandit et qu’il souhaite se faire des amis.

 

Bien connaître les capacités, la personnalité et la façon de penser de l’enfant est un autre gage d’une éducationussie (Genèse 33:13). Parent et enfant ont des conversations intimes et chaleureuses, et chacun apprécie la compagnie de l’autre. La communication entre eux reste toujours ouverte. Chacun fait partie de la vie de l’autre.

L’importance d’être raisonnable

Après un divorce, les enfants ont des contacts réguliers avec leurs deux parents. Supposons que ces derniers aient des croyances religieuses différentes, l’un étant Témoin de Jéhovah et l’autre pas. Une communication régulière et franche permet d’éviter les conflits inutiles. “ Ayez une réputation de personne raisonnable ”, a écrit l’apôtre Paul (Philippiens 4:5, Phillips). Les enfants devraient apprendre à respecter le droit de leurs deux parents à pratiquer leur religion.

 

Le parent non Témoin insistera peut-être pour que l’enfant assiste aux services religieux dans son lieu de culte. Que peut faire le parent qui est Témoin de Jéhovah ? Il peut lui aussi communiquer à l’enfant ses convictions religieuses. Avec le temps, l’enfant pourra faire ses propres choix en matière de religion, à l’image du jeune Timothée dont la mère et la grand-mère lui ont vraisemblablement enseigné les principes bibliques (2 Timothée 3:14, 15). Si l’enfant est gêné d’assister aux offices d’une autre religion, il pourra considérer l’exemple biblique de Naamân qui, après avoir embrassé le vrai culte, a continué à s’acquitter de son devoir d’accompagner le roi qui adorait à la maison de Rimmôn. Ce récit peut confirmer à l’enfant que, même s’il assiste à d’autres cérémonies religieuses auxquelles il n’est pas habitué, Jéhovah l’aime et le comprend. — 2 Rois 5:17-19.

 

Un parent qui élève bien ses enfants est capable de comprendre leurs sentiments et ainsi de modeler leur façon de penser (Deutéronome 6:7). Même si ceux qui ne se sont jamais mariés éprouvent de la gêne en raison de leur ancien mode de vie, ils doivent cependant se rappeler que les enfants ont deux parents biologiques qu’ils souhaitent connaître tous les deux. Ils ont besoin de se sentir désirés, et ne veulent pas se dire qu’ils sont là par accident. En leur parlant avec respect du parent absent et en leur donnant des réponses qu’ils sont en âge de comprendre ou de connaître, l’autre parent fait preuve d’amour et les rassure.

 

Il faut garder présent à l’esprit que les premières notions qu’un enfant acquiert de l’amour, de l’autorité et du pouvoir sont influencées par sa relation avec ses parents. En exerçant son autorité et son pouvoir avec amour, le parent chrétien peut faire beaucoup pour préparer l’enfant à tisser avec Jéhovah des relations d’affection et à respecter les dispositions prises au sein de la congrégation. — Genèse 18:19.

La coopération des enfants est essentielle

Les enfants de familles monoparentales doivent comprendre que leur coopération est essentielle au bonheur de la famille (&Ephésiens 6:1-3). Leur obéissance prouve leur amour, ainsi que leur respect des efforts particuliers que leur parent fournit pour leur offrir un foyer sûr et heureux. Étant donné que la communication est un échange, les enfants se rappelleront la nécessité de soutenir leur parent qui travaille dans ce sens. — Proverbes 1:8 ; 4:1-4.

 

Dans un foyer monoparental, les enfants sont souvent placés face à des responsabilités plus tôt que ceux vivant avec leurs deux parents. Les garçons et les filles qui sont éduqués avec patience et amour gagneront en assurance et en estime d’eux-mêmes, car ils seront équipés pour la vie dès leur jeune âge. Cela sous-entend que certaines tâches leur seront déléguées en vue d’un bon fonctionnement de la maisonnée.

 

Cela ne signifie nullement que le parent unique cherchera à faire de ses enfants de petits adultes indépendants qui n’ont pas besoin de sa direction. Il serait certainement très imprudent de laisser un jeune enfant seul ou sans surveillance.

 

Plus d’un parent isolé est enclin à penser, à tort, qu’il doit devenir le ‘ copain ’ de ses enfants. Si effectivement des relations étroites sontcessaires, il doit se rappeler que les enfants ont besoin d’un parent et qu’ils ne sont pas assez mûrs pour être leurs confidents ou leurs égaux. Vos enfants ont besoin de vous voir agir en parent.

Quand parents isolés et enfants coopèrent au sein d’une relation affectueuse, la famille peut être heureuse. Devant le nombre sans cesse croissant d’enfants élevés dans un foyer monoparental, chacun devrait être conscient des difficultés propres à ces familles et dispoà offrir avec amour encouragements et soutien.

Les effets sur les enfants

La plupart des parents seuls consacrent moins de temps à chaque enfant que s’ils étaient en couple. Certains vivent avec un partenaire qui n’est pas leur conjoint. Cependant, le concubinage n’est pas aussi stable que le mariage. Les enfants vivant dans de telles familles sont plus susceptibles de vivre avec des adultes différents à mesure qu’ils grandissent.

Des études révèlent que “ les enfants issus de familles monoparentales ont statistiquement moins de chances d’avoir une vie équilibrée que ceux issus de familles intactes ”. Toutefois, une analyse plus poussée de ces études indique que des revenus insuffisants seraient “ le principal facteur responsable des écarts entre les enfants venant de modèles familiaux différents ”. Cela ne signifie évidemment pas que les enfants de familles monoparentales sont condamnés à l’échec. Dotés d’une direction appropriée et d’une bonne éducation, ils peuvent éviter les écueils.

Paru dans Réveillez-vous !  du 8 octobre 2003

 

 

 

 

 

 


vos pensées

 

royaumechichi  le 11-05-2008 à 23:53:43  #   (site)

hello chati
je te fais de gross bisousss
et te di bonne nuit
je reste po lontemp ce soir !! tres fatiguée lol

a demain chati!!!

 
 
 

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Surtout ne m'en veux pas si je ne passe pas tous les jours te saluer le temps est trop précieux et mon but est le vrai dialogue n'empêche que parfois mon kikou te parviendra mais je ne validerai plus que les vrais commentaires
Je t'en remercie paix à toi
kissous doux chati
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